Petite chute et grandes conséquences

Avec l’avancée en âge, l’équilibre se retrouve perturbé par de nombreux facteurs. Les chutes, y compris la première, sont loin d’être anodines et peuvent avoir pour conséquence une perte d’autonomie.

05/04/2024

Marcher, mettre un pas devant l’autre, un geste anodin appris dans l’enfance et réalisé de manière automatique et instinctive pendant des années. A mesure que vous prenez de l’âge, cet automatisme se voit pourtant perturbé par des facteurs variés : articulations moins mobiles, fonte musculaire, vertiges, maladies ou médicaments peuvent être à l’origine de troubles de l’équilibre.

Et cela arrive bien plus tôt qu’on ne le pense : chaque année, les chutes touchent près de 2 millions de personnes âgées de 65 ans et plus, soit plus d’un Français sur trois dans cette tranche d’âge. Ce taux augmente à 45 % chez les 80 – 90 ans et même 55 % après 90 ans. Au-delà des chiffres, vous avez probablement eu connaissance ou été témoins de ce type d’accident dans votre entourage.

Des accidents fréquents et répandus alors qu’il existe de nombreux moyens de prévention : la sensibilisation tout d’abord, et la prise de conscience de ce risque inhérent à la prise d’âge. Mais aussi la nutrition et l’activité physique pour préserver son équilibre, ou encore l’adaptation du logement pour faciliter les déplacements et supprimer les dangers inutiles…

 

Car la chute, même la première, est loin d’être anodine. Première cause de décès accidentel chez les plus de 65 ans, elle est aussi souvent responsable de la perte d’autonomie : 40 % des personnes âgées hospitalisées après une chute ne peuvent pas retourner à domicile.

Traumatismes (fractures, perte de connaissance…) sont les conséquences immédiates d’une chute et peuvent aussi accentuer les fragilités liées à l’âge. Le risque de récidive est alors multiplié par vingt, et un nouvel accident entraîne de nouvelles conséquences…

Au-delà de l’impact direct d’une chute, la possibilité de se relever ou non aura une influence capitale. Dans 60 % des cas, le temps passé au sol est supérieur à 3 heures. Les répercussions de cette attente seront à la fois physiques (hypothermie, déshydratation, lésion des tissus musculaires…) que psychologiques (phobie, syndrome post-chute…)

 

Les solutions de téléassistance (bouton d’alarme relié à un plateau d’écoute) viennent prévenir ce risque d’immobilisation au sol et permettent ainsi de se rassurer au quotidien.

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